lundi 30 mai 2011

L'ostéoporose, une fatalité pour les femmes après 51 ans?



Aujourd’hui plus que jamais, l'ostéoporose est devenu un des enjeux majeurs de la  santé publique, puisqu'on estime à 200 millions le nombre de personnes souffrant de cette pathologie dans le monde; et que 30% des femmes ménopausées vivant en Europe et aux USA ont de l'ostéoporose. »

Il s’agit d’une priorité pour nous toutes.  N’oublions pas que la santé osseuse commence dès notre enfance et nos jeunes adolescents commencent à souffrir de plus en plus souvent de déminéralisation.

J’aborderai dans cet article quelques points essentiels à propos du rôle des os, du lien avec les hormones, de la symbolique et des solutions à notre disposition.

Les 4 rôles de l’os.
1.    Il est la « banque chimique » de l'organisme pour les dépôts et retraits réguliers de calcium et du phosphore.
2.    Il est constitué de la moelle osseuse qui fabrique les cellules sanguines.
3.    C’est une armure protectrice de la plupart des organes essentiels de l'organisme: cœur, poumons, foie, cerveau, etc...
4.    Il constitue la structure de base de l'équilibre et de la mobilité du corps.

Quels sont les symptômes annonciateurs de l’ostéoporose ?

Si les médecins allopathiques disent qu’il n’y a aucun signe précurseur de cette déficience, je peux vous assurer qu’il y a de nombreux symptômes indicateurs de cette déminéralisation.
Toutes douleurs osseuses surtout au niveau du dos, tassement des vertèbres, arthroses, dents cariées, peau sèche, états inflammatoires, dépression, fatigue chronique, sensibilité nerveuse, etc… sont des signes avant-coureurs d’une déminéralisation progressive. Celle-ci apparaît habituellement aux alentours des 45 – 55 ans car il y a un lien direct entre l’équilibre hormonal et la fixation du calcium, mais aujourd’hui nous pouvons observer que les symptômes de déminéralisation s’observent de plus en plus tôt, parfois même dès l’adolescence.
J’ai pu lire également que les anciennes anorexiques étaient plus fragiles à ce niveau.

Quel lien entre les hormones et l’ostéoporose ?

C’est un fait que les hormones jouent un rôle primordial et indispensable pour former et maintenir la masse osseuse. L’oestrogène et la progestérone sont les contremaîtres du chantier de construction de nos os. L’oestrogène contrôle l’activité des ostéoclastes, cellules dont le rôle est de résorber les vieux tissus osseux. La progestérone de son côté aide à générer les ostéoblastes, nouvelles cellules qui formeront la matrice de protéines sur laquelle le calcium viendra se fixer. Finalement, l’oestrogène et la vitamine D (qui fonctionne comme une hormone) s’affaireront pour fixer le calcium sur cette matrice. À la ménopause, le déséquilibre hormonal qui se produit dérange ce processus: et les ostéoclastes résorbent le tissu osseux plus vite qu’il ne peut se régénérer, de sorte que l’on se retrouve avec les os «poreux».

Il est intéressant de noter l’implication des oestrogènes dans la déconstruction osseuse. L’os représentant la valeur de soi, l’œstrogène étant relié à la 1ère phase de l’ovulation ( c’est la période plus axée sur le rêve, et la créativité). Alors y aurait-il un lien entre le détricotage des systèmes de croyances pour faire place à de nouveaux ? Je me demande aussi si le fait de s’autoriser à rêver permet de renforcer la valeur de soi ?

La ménopause est une période où la production d’oestrogènes diminuent fortement pour se trouver compensée par les autres dérivés d’oestrogènes accumulés dans le corps (oestradiol, …).
Cette étape biologique est étroitement reliée pour la femme de 50 ans à un passage de vie, où elle fait le bilan. Qu’a-t-elle fait de ses rêves ? Les a-t-elle « déconstruit » pour favoriser ceux de ses proches ? A-t-elle perdu l’estime d’elle-même en regardant ses réalisations accomplies ? Se sent-elle oubliée par ses enfants, son mari ? Ressent-elle qu’il ne lui reste plus assez de temps et d’énergie pour réaliser ce qui lui tient à cœur ?

Pour contrecarrer la perte osseuse, il sera indispensable de se construire une estime de soi bien ancrée, de reprendre en main ses rêves oubliés, de réapprendre à rêver, de faire le nettoyage des ressentiments accumulés, de prendre soin de soi.

Les causes de l’ostéoporose :

Notre alimentation carencée en sels minéraux, la consommation de boissons acides ( sodas, jus de fruits, eau en bouteille, café, thé, alcool), l’abus de sucres cachés ou pas, d’aliments raffinés, favorisent une acidification de notre organisme. Notre organisme va pallier à cette acidification en équilibrant grâce aux sels minéraux stockés dans nos os, dents, muscles, peau.
Le manque d’exercice physique est un facteur également renforçateur du processus de déminéralisation, sans oublier la mauvaise estime de soi.

L’ostéoporose est en lien directement au niveau émotionnel, à une difficulté à se connecter à sa puissance intérieure, à une tendance à ne pas OSER manifester ses rêves, sa force. Il y a des peurs, de la colère à ne pas se sentir puissante, à avoir tendance à s’effacer pour être au service de ceux que nous aimons et que nous avons peur de perdre.
C’est ainsi qu’une tristesse s’installe progressivement en soi et mine nos os.

Des solutions naturelles et efficaces :

Tout d’abord, l’attitude va être un vecteur de santé osseuse.
Si notre attitude cultive le respect de nous-mêmes, l’écoute de nos besoins et la prise de responsabilité de ceux-ci, nos os vont recommencer à se densifier.
Il faut quand même reconnaître que lorsque le terrain est fragilisé au point d’avoir une perte osseuse, il est urgent d’y remédier de manière sérieuse.
L’alimentation est très importante. Actuellement, nous mangeons une nourriture trop acidifiante et l’eau que nous buvons n’est pas suffisamment équilibrée au niveau du Ph. Elle est également trop acidifiante. Toute cette acidité force notre corps a puisé dans les os les sels minéraux qui rééquilibreront l’excès d’acidité.

J’ai eu la chance de tomber, il y a 3 ans, sur les recherches du Dr Nairan Naidu ( USA) qui a découvert que tous les nutriments avaient besoin de transporteurs spécifiques pour être acheminés de l’intestin grêle à la zone du corps demandeuse. 

Après plus de 20 ans de recherche, il a pu observer que l’ostéoferrine est le transporteur du calcium. Ce transporteur est la clé de voûte de la santé osseuse. Sans lui, vous ne pouvez pas re-densifier vos os, ni re-générer votre cartilage. Il est intelligent car il conduit le calcium là où le corps en a besoin.
Sans une quantité d’ostéoferrine ( qui se trouve entre autres dans le lait) suffisante, le calcium que vous allez consommer en supplément alimentaire ira nourrir votre WC[1].  Plus de 90 % des complémentaires alimentaires que nous consommons finissent par nourrir nos égoûts et nos rivières.

La prise quotidienne de l’ostéoferrine en association avec les sels minéraux de calcium vont aider les os à se redensifier, et les cartilages à se régénérer.

Les personnes qui prennent ces bio-régénérateurs osseux voient leurs douleurs lombaires et osseuses diminuer. Elles peuvent progressivement remarcher sans béquilles et reporter la mise de prothèses à plus tard. Mais aussi leur sommeil est amélioré, et l’humeur redevient agréable. La dépression et la fatigue chronique disparaissent progressivement. La personnes a à nouveau envie de marcher, de faire des activités physiques ce qui renforcent l’effet des bio-régénérateurs.

L’ostéoporose n’est plus qu’un mauvais souvenir et l’espoir de vivre en bonne santé est plus grand.

Orianne Corman
Spécialisée dans le coaching des femmes de 40 à 65 ans
Pour plus d’infos sur Ostéodenx et Caldenx, contactez-moi au 00 32 478 564 261


[1] http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=18055694

samedi 21 mai 2011

mercredi 18 mai 2011

Le nombre de femmes parmi les nouveaux indépendants en hausse en Belgique!

Entreprendre Today : le quotidien des PME

Le nombre de femmes parmi les nouveaux indépendants en légère hausse

Le nombre de femmes parmi les nouveaux indépendants en légère hausse
La part des femmes parmi les nouveaux travailleurs indépendants en Belgique est passée, entre 2006 et 2009, de 37,97 à 39 pc. En chiffres absolus, leur nombre est passé de 27.290 en 2006 à 30.818 en 2008, pour retomber à 29.481 en 2009, selon des chiffres livrés mardi par la ministre des Indépendants, Sabine Laruelle, en réponse à une question parlementaire.

Soixante pc de ces nouvelles indépendants étaient établies en Flandre, contre 28,1% en Wallonie, et 10,1% à Bruxelles.
Parmi les 27.290 femmes qui se sont lancées comme indépendantes en 2006, 17.809 (65%) étaient encore en activité fin 2009, avec des différences régionales toutefois: 68,07% en Flandre, 63,58% en Région wallonne et 52,56% à Bruxelles.