lundi 30 avril 2012

S’aimer Soi par le Yoga orgasmique


Exploration intime ;  le voyage d’une Grand-Mère vers la Tortue
S’aimer Soi par le Yoga orgasmique

Article écrit par Marion Delforge
Publié dans la revue http://www.revedefemmes.net/ 
Marion propose ses services sur le site: http://www.allianceaucorps.net/md.htm


Il existe un lieu sous mer où j’aime naviguer, me laisser couler en apnée et plonger,  profondément.  En abysse, ma respiration se branche sur mon muscle d’amour (périnée) et toutes zones génitales amarrées.  Propulsée par ce muscle intime, je vogue alors en dimension et  rythme d’une immense méduse, tressaillante de vie. J’inspire, je n’ai ni chair, ni os. J’expire et je dérive sous mer dans les sites engloutis de mon propre pouvoir.
En oubliant qui j’étais, je me redonne la vie grisée par la source infinie du plaisir…


Le voyage a commencé un jour devant mon miroir. Je cherchais à me voir de l’intérieur,
par  la première porte, la plus basse, celle confinée au creux de mes cuisses. En chair et en vrai, j’y découvre une grand-mère, une très vieille dame Reine de Tous  Mystères : Ma Vulva porte une longue robe plissée. Elle a les traits anciens de celle qui détient la co-naissance.
Elle m’inspire le silence des espaces sacrés. Je suis très impressionnée, mais l’envie se crée, j’ai envie d’entrer, elle le sait… Pas à pas, tout en lenteur, respectueusement depuis  la pulpe de mes doigts en salivés, je tourne autour du bourgeon émergeant comme un atoll clitoridien chatoyant. Au plus je tourne, au plus l’immense plissé de sa robe, lèvre intérieure s’entrouvre pour me laisser visiter l’autre côté du miroir. Happée, je plonge d’un bout à l’autre de mon souffle dans une autre dimension. L’espace est immense, caverneux, sans fin… dans le fond peut-être une cathédrale.  Autel du plaisir sans cesse renouvelé auquel je m’abandonne divinement. Au plus profond de ma faille, une source tourbillonne, m’abreuve et régénère ma vitalité. Je suis gorgée comme une fleur à l’aube de rosée.
Pause, dans l’inspiration je m’étire.



En ouvrant les yeux sur mon miroir, la grand-mère (gardienne de ma porte sacrée) écarte en douceur les rideaux de ce théâtre d’amour tandis que mes doigts jouent encore à l’intérieur.
Et maintenant ce sont mes yeux qui s’écarquillent. Mon périnée toujours activé pousse légèrement vers l’avant en donnant toute sa surface à l’ouverture.
J’expire et  je vois,  je sens apparaître un rebond charnu, ridé, luisant…tout aussi impressionnant. Pourtant cela fait partie de moi-même, alors je veux voir, écarquiller encore plus, rapprocher le miroir, continuer de pousser. C’est un peu monstrueux, mais tellement délicieux. Je ne peux lâcher le contact avec cette tête naissante. Comme une tortue, elle sort de sa carapace timide. Je dois la titiller sans cesse, garder le contact  pour que cette partie de moi jaillisse en  splendeur…

Suis-je arrivée sur l’île de la Tortue par les eaux du voyage, comme aux temps anciens ?
 Je découvre mon point G, ma perle noire, ma tortue, guidée par ma grand-mère  ici en ce point de dissolution …Dans un souffle je remercie, baignée par l’énergie de ce voyage, je goûte et savoure l’instant de cet espace où je me suis propulsée grâce au muscle de mes ancêtres (périnée). Je suis en  Extasie !


J’ai l’âge d’une grand-mère. Ni ma grand-mère, ni ma mère n’ont pu ouvrir pour moi leur voix pour me guider en « Extasie ». Je rêve d’offrir la mienne afin que les femmes,
plus jeunes femmes et arrière grand-mère illumine leurs « Miss Terre » (mystères).
En écrivant ce jeux de mots, je me rends compte qu’en anglais « miss » veut dire manquant !
Nous n’avons jamais fini de nous découvrir. Sexplorer, c’est s’offrir une chance unique de  reconnexion à nos parties intimes « manquantes ».
Visiter  sa source profonde et sacrée permet de ressentir cette unification de Soi.
La puissance d’un auto érotique massage donne pleinement confiance en soi.
Culturellement, nous ne sommes pas éduquer pour honorer, toucher sensuellement notre muscle d'amour et nos organes génitaux. Accéder à la sagesse du corps est pourtant primordial dans l'expérience d'être humain. L'éducation érotique et la co-naissance de la sexualité sont nos droits humains de base. Tout ce que l'on désire apprendre ou expérimenter dans le cadre de la sexualité est à rechercher au sein du corps et la masturbation fait partie d'une exploration de son soi sexuel authentique.  Pourtant le mot masturbation est chargé d’interdictions. C’est un mot dans lequel résonne : vite, sans bruits et en cachette !
Remplacez ce mot  par « Yoga Orgasmique » et que ce moment de pratique d’amour intime soit pour vous une source d’apprentissage et d’éveil. Créer votre Yoga Orgasmique en savourant chaque instant, en  touchant consciemment chaque endroit, en vous étirant, en dansant, en bougeant en murmurant, en chantant, en enrichissant votre souffle vital…
Et ressentez votre plaisir, puissant et précieux guérisseur qui génère la vibration d’Amour.
Cette pratique intime a le pouvoir de reprogrammer votre sensibilité en ouvrant l’espace
du panorama d’Eros.
Soyez accompagnée d’un guide unique et  précieux : Votre Ressenti.
Je vous souhaite une délicieuse pratique et de merveilleux voyages en Extasie.

Cet article vous a inspiré?
Alors inscrivez-vous pour notre prochain atelier à Bruxelles le samedi 2 juin de 9h à 18h
Envie de nous connaître? Venez assister à la Performance de Marion  Delforge le vendredi 25 mai à 19h "Femme, laisse briller ton étoile." PAF 10 €  
Pour vous inscrire cliquez sur le Je m'inscris le 25 mai
Lieu: Watermael-Boitsfort 34 boulevard du souverain.




dimanche 29 avril 2012

Ne me dis pas que la ménopause c'est extra ?



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Je souris encore en pensant à l’autre soir alors que j’étais avec ma fille de 26 ans et ma petite fille Clara!
J’entends ma fille dire, Maman, ne me dis pas que la meilleure période de la vie d’une femme commence quand elle a sa ménopause! Et je vois aussi, ma voisine de table, environ 44 ou 45 ans, mangeant seule et toute ouïe. A un moment, je l’entends marmonner, il ne faut tout de même pas exagérer!
Personnellement, je ne pense pas que ce soit une meilleure ou une moins bonne période de la vie. Chaque étape, chaque cycle de la vie d’une femme est extraordinaire, riche en expériences, en émotions. En fait, nous pouvons en faire des moments exceptionnels ou des catastrophes.
Il se fait que la ménopause dans notre société est considérée comme le déclin de la femme. Elle vieillit, sa peau se fane, ses ovaires sont épuisés, elle perd de son attrait sexuel, ses enfants pour celles qui en ont eu partent vivre leurs vies, elle se sent inutile, etc…. C’est tellement convaincant, que c’est devenu un fait!
La majorité des créateurs de mode ( pour plus de 80 % d’entre eux, homos) ne voient que les jeunes gazelles de 18 à 25 ans, et ne créent que pour elles. Les photographes ont appris Photoshop pour effacer les ventres grassouillets, les vergetures, les cicatrices de la vie, … Tout est lissé, aseptisé, perfectionné, … Et la femme mûre veut absolument continuer à être cette jeune fille désirée et désirable, ce qui l’amène à se déguiser en top biche, à se ruiner en crèmes miracles, et à se raconter des histoires de Prince Charmant plus très charmant.
Quelle illusion qui fait perdre la tête à tellement de femmes. Quelle souffrance le matin quand notre regard se pose sur notre visage et voit les “ravages du temps”! Termes maintes fois lus dans les romans.
Tout est question de point de vue, de choix, de compréhension, d’ATTITUDE. Nous avons à chaque instant le CHOIX d’entrer dans le nouveau cycle de la vie qui se présente où de rester attachée à l’époque qui n’existe déjà plus.
Bien sûr ces regrets, cet attachement à la jeunesse, est un signe d’un mal-être profond, d’un sentiment d’inaccompli, d’immenses frustrations, d’un oubli de soi. Les femmes sont menées plus encore que les hommes par leurs hormones. Ces dernières rythment la vie et impactent le cerveau féminin. Nous nous sommes soumises au management hormonal, sans savoir que nous pouvions les utiliser pour aller dans le sens que nous désirions donner à notre vie. Tout comme avec nos émotions, la plupart du temps nous les subissons, certaines d’entre nous arrivons à les gérer tant bien que mal, et rares sont  celles qui utilisent la force émotionnelle pour atteindre les objectifs visés.
Pour en revenir à nos hormones féminines, celles-ci ( l’ocytocyne) nous amènent à nous dévouer corps et âmes à notre progéniture, notre conjoint, et parfois nos parents ou notre fratrie. Nous sommes programmées pour nous conSACRER à la survie de notre clan, de notre descendance car il s’agit d’une priorité cellulaire. Et donc la croissance de nos rêves s’est arrêtée à l’adolescence et …. reprend à la MENOPAUSE, seconde adolescence de la femme.
Enfin, nous quittons la gestion de la SURVIE pour entrer dans la VIE!  Nos rêves se réveillent après une longue période de 25- 30 ans d’hibernation et demandent à éclore.
C’est la BONNE NOUVELLE du jour!
Un vent de LIBERTE souffle sur notre vie. Nous faisons tout valdinguer, nous prenons des décisions, nous remettons tout en question, et c’est tellement fort, qu’il arrive un moment où c’est le CHAOS en nous, et autour de nous. Les émotions niées prennent le dessus. Les bouffées de chaleur témoignent de nos COLERES refoulées, la dépression signale que la tristesse n’a pas pu être entendue, les angoisses nous rappellent qu’il ne nous reste plus que la moitié de notre vie à vivre et que cela devient urgent.
Trop de liberté fait peur, trop de choix inquiètent, nous nous sentons tellement perdues. C’est alors que nous allons consulter notre gynéco ou un psychiatre. La solution classique: un traitement hormonal et , ou un anti-dépresseur. Tout est verrouillé, tout redevient calme, neutre, tranquille. La tempête est apaisée, la vie reprend son cours normal, et le corps n’est pas content du tout! Les cellules se révoltent, se multiplient, c’est l’ANARCHIE cellulaire. C’est une levée, un ras de marée, une révolution, une guerre cellulaire. Au dernier bilan de santé, un cancers’est annoncé. La PEUR envahit tout le corps, toutes les cellules, le sentiment d’urgence est encore plus intense.
Pourquoi moi? Pourquoi maintenant? Je n’ai pas encore eu le temps de vivre MA VIE!
Alors, la ménopause est ce vraiment si extra que cela?
Orianne



pour un suivi-coaching par skype contacter Orianne Corman par e-mail : femmesetavenir@gmail.com

samedi 7 avril 2012

Aimer après 50 ans?


Arouna Lipschitz, une amoureuse entêtée

Par Patrice van Eersel

“ Rien ne m’arrête sur le chemin de l’amour. Rien. C’est ma quête, je continue à le chercher. Tout le monde attend l’amour, tout le monde en a la mémoire Je sais qu’il est là. ” Ainsi parle Arouna Lipschitz, 54 ans, avec force, joie... et un brin de provocation.
Son côté femme d’affaires a pu en irriter certains. Sa manière de raconter crûment sa démarche spirituelle a pu être jugée "politiquement incorrecte". Arouna parle, comme elle dit, « chair et os ». C’est ce qui nous intéresse chez elle. Peut-être est-ce cela aussi qui a donné envie à Guy Corneau de préfacer son premier livre, Dis moi si je m’approche - le voyage initiatique d’une femme moderne (Éd. des 3 monts). Un extrait de cette préface : « Il est relativement rare que des gens témoignent en toute franchise de leur recherche intérieure. Lorsque c’est une femme qui le fait, le texte parle invariablement d’amour, d’amour avec un grand "A" et avec un petit "a". » Dans le cas d’Arouna Lipschitz, c’est avec un A géant.
Dans sa quête, Arouna n’a jamais séparé le corps de l’âme. Mariée très jeune, elle se retrouve veuve quelques mois plus tard et entre dans une véritable valse des amours. Parallèlement à une vie affective trépidante, elle devient docteur ès lettres, puis professeur de yoga. Quelques années plus tard, son maître indien l’ordonne swami (maître dans la tradition hindoue). Elle ouvre un ashram dans la région parisienne, revêt la "robe orange", fait le vœu de chasteté – une promesse qu’elle respectera pendant dix ans. Puis elle tourne la page, part au Canada étudier la Kabbale et renouer avec ses racines juives. Là, elle est confrontée à une vie collective quotidienne et découvre, stupéfaite, que l’autre ne l’intéresse pas. “ Me préoccuper d’autrui ne m’était pas naturel. À cette époque, j’ai failli mourir d’ennui - au sens propre ! ”
Un matin, un de ses maîtres la fait se réveiller de bonne heure et lui demande : “ De quelle couleur sont les yeux de tes proches ? " Elle pense aussitôt à sa mère, à sa sœur, à ses amis, et se rend compte qu’à force de travailler sur elle-même, les autres n’existent plus dans son monde réel : " Je les avais perdus de vue : je ne savais plus la couleur de leurs yeux ! "
Et puis un beau jour tout bascule : " J’étais installée sur un banc, dans le "mall" d’une grande ville canadienne, je regardais les gens, me moquant d’eux, de leur façon de marcher, de s’exprimer, de s’habiller et tout à coup, j’ai VU leurs visages, le visage humain de chacun, sa part de vulnérabilité, sa fragilité et donc sa force. Ce regard différent posé sur eux m’a permis de redescendre dans mon cœur et, soudain, de les trouver intéressants et dignes d’être aimés. "
Après cette expérience, Arouna revient en France et décide de fonder son propre enseignement : la "voie de l’amoureux". Sa question de départ : comment approcher l’autre sans perdre le lien avec le divin ? À bien y regarder, elle se dit qu’en amour, il peut y avoir des errances plus ou moins longues, mais il n’y a pas d’erreur : toutes nos relations nous préparent à la rencontre avec " l’âme autre " La voilà partie dans une classification des relations amoureuses, qualifiées de relations de guérison. Premier degré de l’échelle : la compensation consolatrice - on rencontre une personne qui nous fait du bien, une épaule sur laquelle pleurer. Mais pourquoi, se demande Arouna, passons-nous si vite de cet échange humain basique à la construction d’un "couple" ? Pourquoi ne pas nous contenter de l’échange ? Est-ce vraiment cela que nous désirons vivre ? Un siècle après Rainer Maria Rilke, la jeune femme invite ses frères et sœurs humains à oser se bâtir eux-mêmes, sans automatiquement recourir à une "béquille conjugale ".
Second degré de l’échelle amoureuse : la relation karmique. Selon de nombreux sages, dont le kabbaliste Adin Steinsaltz*, beaucoup de nos relations relèvent de liens karmiques, signalés par l’impression de "déjà vu". Détournant l’énergie sexuelle à son profit, la relation karmique peut devenir coup de foudre. L’important est alors de dénouer des nœuds anciens, en nous dégageant de la répétition. " Ce que le coup de foudre réveille, dit Arouna, c’est le schéma non accompli duquel je suis prisonnier, avec toujours le même schéma émotionnel et, quand ça va mal, les mêmes questions en boucle : que fait-elle ? où est-il ? pense-t-elle à moi ? va-t-il m’appeler ? "
Une approche initiatique der de trottoir et s’enfuir, en toute conscience ! " Le danger de la relation entre âmes sœurs, poursuit Arouna, c’est que l’autre y est du "même". On se reconnaît en lui, mais on oublie de le regarder comme autre, c’est-à-dire comme mystère. Jusqu’au moment du réveil, parfois brutal, où l’on se demande : "Mais qu’est ce que je fais avec cet homme-là ?" Avec cet homme qui adore le foot. Avec cette femme qui ne peut passer une soirée à la maison. Avec ce bavard. Avec cette frivole. Une âme sœur peut aimer un quotidien qui ne nous intéresse pas.
Ne pas se tromper d’amour, c’est d’abord ne pas se tromper soi-même. Comment cesser de juger l’autre ? Comment ne plus penser qu’il y a mieux ailleurs ? Arouna : " On a les relations de son état de conscience. Alors seulement peut commencer ce que Guy Corneau appelle la "guérison du cœur". Guérir de quoi ? D’abord de nos projections idéalisées : le prince charmant, la femme fatale, etc... Ensuite guérir de nos manques infantiles : manque d’estime de soi, d’amour de soi, de respect de soi. Quelles sont mes véritables exigences intérieures ? Est-ce mon choix d’opter pour telle relation amoureuse, ou suis-je déterminé du dehors ? Qu’est-ce qui me pousse à "consommela nostalgie d’un paradis perdu ? la revanche d’un non-dit ancestral ?
Mais conscientiser nos motivations profondes ne suffit pas. Pour qu’un amour devienne relation de guérison, la grande question est la réciprocité - sinon, c’est l’enlisement dans la co-dépendance : tenter d’utiliser l’autre pour se guérir soi-même. Quand les deux partenaires sont conscients, l’amour devient un compagnonnage d’études. Et, de nouveau, peut se poser la question : cela ne peut-il en rester là ? pourquoi forcément s’engager dans la conjugalité ? " À un certain niveau, dit Arouna, tout est dans l’art de savoir mettre fin à ses relations... en amoureux. "
L’amour peut-il devenir un pur art d’être, avec ses droits et ses devoirs relationnels, art de s’approcher d’autrui en amoureux, qui que soit cet "autrui", dans la joie et la légèreté, vivifiant pour tous ceux que l’on approche ? Doucement, tout doucement, la relation amoursuse s’approcherait ainsi des "liaisons dharmiques entre âmes autres", qui n’est pas étrangère à la relation entre amis poursuivant une route ensemble et permettant à chacun de découvrir l’autre comme AUTRE. Une question surgit alors, abrupte : ce type de relation n’est-il pas réservé aux grands âges, après bien des échecs et des joies, quand le désir s’émousse et que peut poindre la sagesse ?
Réponse d’Arouna : " Sans doute sommes-nous, femmes de 50 ans et plus, une génération un peu sacrifiée, car il se trouve que peu d’hommes de notre âge ont effectué un chemin similaire. Cependant, nous sommes aussi la génération qui a initié la joie de vivre chez des millions de femme. Or, la joie génère l’amour. Quant aux moins de 30 ans - nos filles, ou nos nièces - elles ont profité de notre maturité. Nous les avons bien préparés à vivre. Et cela seul suffit à m’empêcher de désespèrer et me remplit de joie ! Et puis, il y a une autre certitude exaltante : l’autre ne vient jamais d’où je l’attends. Je ne désespère pas de trouver des hommes à la hauteur de ma joie. J’en ai connu un échantillon récemment. Quel programme ! "





pour un suivi-coaching par skype contacter Orianne Corman par e-mail : femmesetavenir@gmail.com