mardi 19 juillet 2011

Les conseils de David Servan-Schreiber: des couleurs pour votre santé



7 - Colorer son assiette


Du vert, du rouge, du jaune, de l’orange... Les aliments anticancer regorgent de couleurs susceptibles d’égayer votre assiette. Alors oui,colorez et variez les aliments de votre assiette, mais pas n’importe comment ! En éliminant le plus possible certains aliments (charcuterie, pain blanc, beurre, etc.), et en privilégiant les fameux ingrédients anticancer.

La palette idéale ? Des olives en apéro, et/ou des bâtonnets de carottes à tremper dans une sauce au yaourt bio parsemé d’origan.
En plat de résistance ? Du boulgour ou du quinoa et sa sauce au curcuma, du chou (quel qu’il soit), des champignons, ou des brocolis. De la viande et des œufs ? Oui, mais bio ou bleu-blanc-cœur. Pour agrémenter vos plats, le choix des condiments est grand : de l’ail (même en excès), de l’oignon vert, du thym, du basilic, de la menthe, du romarin, etc.
Et quand viendra l’heure du dessert, piochez dans la corbeille de fruits rouges de grand-mère ou du marché, ou optez pour les fruits de l’été (à noyaux).
Un peu de chocolat noir ne vous nuira pas, et encore moins la tasse de thé vert en fin de repas.


dimanche 17 juillet 2011

David Servan-Schreiber nous conseille: moins de sucres!



6 - Limiter la consommation de certains sucres


D’après David Servan Schreiber - mais aussi d’autres médecins, certains sucres favoriseraient le développement tumoral. En fait, comme toutes les cellules de l’organisme, les cellules tumorales (de façon plus importante) se nourrissent de sucres. Mais des études sur l’assimilation des sucres, ont montré que certains types de sucres joueraient un rôle particulièrement actif sur la croissance des cancers.

Ce sont les aliments à index glycémique élevé (ou « sucres dits rapides ») qui sont pointés du doigt ! Ces aliments engendrent des pics d’insuline dans l’organisme qui stimule la libération d’une autre molécule : l’insulin-like growth factor (IGF). Or cette substance a pour particularité de stimuler la croissance et la multiplication des cellules. Autre particularité de l’IGF, cette molécule favorise un état inflammatoire des tissus... En clair, autant d’arguments scientifiques qui prouveraient que les pics d’insuline et l’IGF favoriseraient la croissance des cellules cancéreuses.

Attention donc aux sucres raffinés, indique David Servan Schreiber. Autrement dit, il serait conseillé de réduire la consommation des sucres blancs, du pain blanc, des pommes de terre très cuites, des confitures, des boissons très sucrés... Et il recommande de privilégier : les céréalescomplètes, les patates douces, le quinoa, les haricots, les lentilles, le riz complet.



Les conseils de David Servan-Schreiber: diététique et santé





5 - Manger des aromates et des épices



Les nutriments qui ont des vertus pour lutter contre le cancer, se trouvent préférentiellement dans certains aliments, comme le curcuma. Des études en laboratoires, ont montré despropriétés anti-tumorales contre les cancers du foie, du poumon, de l’estomac... Cette épice « forcerait » les cellules cancéreuses à mourir.

Cuisiner en harmonieProblème : le curcuma franchit difficilement la barrière intestinale. David Servan-Schreiber fait référence à des travaux qui auraient montré que le poivre ou le gingembre permettent de favoriser énormément l'absorption du curcuma. Ces aliments sont très souvent utilisés dans la cuisineindienne, ce qui fait dire à ce médecin : « La sagesse indienne a donc largement devancé la science dans la découverte des synergies naturelles entre les aliments ».

David Servan-Schreiber regrette que beaucoup des arguments scientifiques apportés par des chercheurs n’ont pas forcément l’écho qu’ils devraient avoir. C’est le cas pour l’importance de la qualité de notre alimentation dans la prévention des cancers. Pour convaincre totalement, des travaux de grande envergure - dits épidémiologiques - sont généralement nécessaires. Seul problème : ce genre de travaux demande des moyens souvent considérables, et du temps... mais avons-nous vraiment le loisir d’attendre quand il s’agit de cancer ?

samedi 16 juillet 2011

Le massage facial




Alain Pénichot, vous présente ces quelques exercices qui vous aideront au bureau, dans les embouteillages, dans votre bain, quand vous avez 3 min ni plus, ni moins, à vous détendre, vous dé-stresser.
C'est simple, gratuit, à portée de tous.

Bel été!

Orianne

Visitez le site http://Orianne.myKeyAudio.com

David Servan-Schreiber nous conseille: utiliser une bonne huile!



4 - Choisir la bonne huile


Il est important de privilégier une alimentation riche en oméga 3,
indique David Servan-Schreiber. Autrement dit : manger des poissons,
préférer l’huile de colza ou de noix, des œufs ou des produits laitiers
issus de la filière oméga 3 (c’est-à-dire dont les animaux ont consommé
 de l’herbe traditionnelle au lieu de produits alimentaires à base de maïs
 ou desoja, par exemple).

David Servan-Schreiber n’est certainement pas le seul médecin à mettre
 en avant les vertus de ces graisses qui permettent un meilleur contrôle
de l’inflammation, et de la croissance des cellules. Dans ses différents
ouvrages, il a dénoncé les graves conséquences d’unealimentation
beaucoup trop riche en oméga 6. Sous le prétexte de diminuer notre
consommation de beurre, nous avons surconsommé des huiles végétales,
et en particulier des margarines riches en oméga 6... dont la consommation
a augmenté de 250 % entre 1960 et 2000.

Attention aux huiles de soja et de tournesolDans son livre Anticancer,
on trouve un schéma qui fait le parallèle entre l’augmentation de la
consommation des oméga 6 (huile de soja, tournesol) dans l’alimentation,
et l’augmentation des cancers du sein.


































vendredi 15 juillet 2011

Retrouver l'harmonie intérieure

suite des conseils de notre ami David Servan-Schreiber: 7 conseils anti-cancer.


Je vous souhaite un bel été



3 - Retrouver l'harmonie intérieure



Apprendre à relâcher les tensions implique de prendre conscience de ces dernières par un retour sur soi.

Selon David Servan-Schreiber, la respiration est la porte d’entrée vers notre intérieur. Contempler sa respiration permet de focaliser son attention et de prendre conscience de soi au moment présent. Qu’il s’agisse de méditation en pleine conscience, de yoga, de sophrologie voire de tai-chi, toutes les méthodes qui visent à renouer avec soi au travers de la respiration sont salutaires pour l’âme et le corps.

L’enjeu : être attentif à soi, un peu comme on pourrait l’être pour un petit enfant, et renouer avec sa force intérieure. Regagner ce souffle de vie, c’est autoriser ses propres rythmes biologiques à retrouver une harmonie. Une harmonie qui s’avère, selon David Servan-Schreiber, bienfaisante sur les défenses naturelles de l’organisme.

Ce que conseille David Servan-Schreiber ? Cultivez votre force de vie grâce à la respiration, et ainsi redonnez-vous les moyens d’agir sur la vie, plutôt que de la subir dans l’impuissance.

jeudi 14 juillet 2011

De la part de David Servan Schreiber: Laissez parler vos émotions.

Hier, je vous ai partagé un très chouette article tiré du site http://www.aufeminin.com qui présentait le 1er conseil de David Servan Schreiber.

Voici le 2ème conseil: "Laissez parler vos émotions"




Les tracas psychologiques, petits ou grands, qui nous touchent tout un chacun, nourrissent peu à peu notre stress quotidien.

D’émotions gardées, en aigreurs cachées, le stress peut se chroniciser et ronger chaque jour un peu plus de notre force de vie. Notre force intérieure ainsi ternie, l’impuissance et la lourdeur sont à même de prendre le pas sur nos vies. Une impuissance qui s’impacte sur notre santé et plus précisément sur notre immunité, à même de s’en trouver altérée.

Ainsi, selon David Servan-Schreiber, notre façon de gérer nos petits et grands soucis influence indiscutablement les capacités de notre organisme à se défendre contre les tumeurs.

Apprendre à relâcher les tensionsMais, plus que les événements stressants, c’est notre façon d’y répondre qui apparaît influente. Ainsi, face à une rancœur, il est essentiel d’en prendre conscience, de l’accepter et de la laisser s’exprimer. Ne pas la garder à l’intérieur, mais « laisser couler », afin de ne pas la laisser nous grignoter. Là-dessus, David Servan-Schreiber nous dit « L’important n’est pas d’éviter le stress à tout prix, mais d’apprendre à relâcher les tensions régulièrement ». Ne pas laisser passivement le stress nous ronger, mais retrouver le souffle de vie qui peut nous aider à lutter contre la maladie.


mercredi 13 juillet 2011

De la part de David Servan Schreiber: 7 conseils anticancer.

David Servan-Schreiber : ses 7 conseils anticancer

Mener une vie paisible et à l’écart du stress

1 - Privilégier sa qualité de vie avant tout


 « Alors les framboises et les brocolis, cela ne suffit pas ? »

Ce n’est pas parce que David Servan-Schreiber a rechuté que ses conseils sont bons à oublier. Au contraire, cela lui a permis de les revoir et de les prioriser.
La leçon essentielle à retenir de l’expérience de David Servan-Schreiber est que si tous ses conseils sont importants, certains le sont plus que d’autres.

Dans son dernier livre On peut se dire au revoir plusieurs fois*, il confesse « ma rechute entame-t-elle la crédibilité de la méthode anticancer ? Je réponds catégoriquement non (...) A la lueur de ma dure expérience , je suis tenté de mettre l’accent en premier sur l’absolue nécessité de trouver la sérénité intérieure, et de la préserver, notamment à l’aide de la méditation (...) et surtout d’un équilibre de vie qui réduise au maximum les sources de stress ».

L’activité physique et la nutrition quoi qu’essentielles, arrivent au second plan, ce que le médecin n’a peut-être pas su mesurer à temps.

Se méfier de l'excès de stress
Si David Servan-Schreiber mettait auparavant l’accent sur la nécessité de bien s’alimenter, il semble que mener une vie paisible et à l’écart du stress, du décalage horaire et des tensions soit le facteur n°1 permettant d'optimiser ses défenses naturelles.

* On peut se dire au revoir plusieurs fois
David Servan-Schreiber
Robert laffont

mardi 12 juillet 2011

Ménopause et dépression: des solutions douces!

La dépression absorbe toute votre énergie, vos espoirs, ce qui rend difficile le fait d'y voir clair pour s'en sortir et guérir. Mais même si se débarrasser de la maladie n'est pas rapide ou facile, c'est loin d'être impossible. En effet, vous avez toujours et encore le contrôle sur certains leviers qui vont jouer sur votre volonté de s'en sortir. Le facteur clé pour guérir est de se fixer de petits objectifs et de vous reconstruir sur ces objectifs. Cela prend du temps, mais vous pouvez y arriver si vous faites des choix positifs pour vous au quotidien.

Dresser un plan d'actions personnelles contre votre dépression

On a rien sans rien. Guérir de la dépression nécessite que vous mettiez en oeuvre les bonnes actions pour votre santé. Mais prendre les bonnes décisions est difficile lorsque l'on est dépressif. En fait, le simple fait d'y penser peut même être fatiguant: faire de l'exercice, manger sainement, bien dormir, sortir de chez soi, rencontrer du monde, ne pas penser de façon négative, faire les choses que vous aimez...
Vous savez probablement déjà que ces choses vous aideront à dépasser votre dépression. Mais ça ne les rend pas forcément plus faciles. Après tout, quand il est déjà difficile de sortir de son lit le matin, ajouter encore des choses sur la liste des actions à mener peut même être épuisant. C'est même un des symptômes de la dépression (être fatigué, sans espoir) que de rendre les choses difficile. Mais il y a une différence entre difficile et impossible.
Si vous arrivez à assimiler ce qu'il faut pour vous en sortir, sans sous estimer la maladie ni votre capacité à guérir, vous pouvez dresser votre plan d'actions. Un plan d'actions réaliste implique de prendre vos responsabilités dans les choix et les changements sur lesquels vous avez le contrôle, tout en évitant de vous blâmer vous même ou de vous croire coupable des difficultés que vous pourriez rencontrer dans la mise en place de votre guérison.

Y aller petit à petit

Le plus important est de vous appuyer sur le niveau d'énergie et les ressources internes que vous avez, si petites soient elles. Commencer avec de petits objectifs. Même si vous vous sentez à plat, vous avez probablement ce qu'il faut d'énergie pour sortir faire une petite marche et faire le tour de votre domicile ou prendre le téléphone pour appeler quelqu'un que vous aimez et prendre des nouvelles.
Si vous souffrez gravement de dépression, concentrez-vous sur le fait de mettre plus d'activités dans votre vie. Vous n'avez pas forcément de vous mettre à la course à pieds pour courir un marthon. Une activité peut simplement être de prendre l'air pour prendre le soleil dix minutes plutôt que de rester sur le canapé, ou encore de prendre une douche et de vous aprêter, ou bien prendre un verre avec un ami.
Reconstruisez-vous tous les jours un peu plus, petit à petit, soyez patient et félicitez-vous à chaque fois que vous accomplissez quelque chose. Cumulées les unes aux autres, toutes ces étapes vous feront vous sentir mieux et vous mettrons sur la voie de la guérison définitive.
10 étapes pour aller au bout de votre plan de guérison
  1. Définissez de la façon la plus aboutie possible ce que vous avez envie de créer ou de recréer dans votre vie
  2. Sachez pourquoi vous voulez atteindre ces objectifs et en quoi votre vie sera différente une fois que vous les aurez atteint.
  3. Prenez conscience de tout ce qui est pourra vous aider autour de vous
  4. Ayez conscience que ce ne sera pas forcément facile
  5. Gardez en tête que toutes vos pensées intérieures négatives ne feront que saboter vos tentatives pour guérir
  6. Ayez conscience de ce dont vous avez besoin pour guérir: ressources, amis, environnement
  7. Listez les 3-5 actions dont vous avez besoin pour commencer à vous y mettre
  8. Réfléchissez à des moyens de prendre soin de vous-même pour atteindre cet objectif.
  9. Restez concentré sur les avantages et les bénéfices de ce que vous voulez créer dans votre futur nouvelle vie, ne pensez pas aux difficultés qui pourraient se présenter.
  10. Soyez indulgent envers vous mêmes! Profitez du voyage!

Développez votre "boîte à idées"

Derrière ce concept de boîte à idées se cache toutes les idées que vous pouvez mettre en oeuvre pour vous aider dans la guérison. Dressez une liste de choses que vous pouvez faire ou que vous avez faites dans le passé pour vous soulager de la dépression. Cela peut être des activités ou des loisirs que vous pouvez faire pour vous remonter le moral. Plus la liste de ces activités est longue, mieux c'est. Essayez de mettre en oeuvre quelques unes de ces idées tous les jours, mêmes lorsque vous vous sentez bien.
Quelques idées d'activités pour vous faire oublier la dépression
  • Parler à un ami
  • Passez du temps dans la nature (forêt, parc etc...)
  • Lister ce que vous aimez de votre personnalité
  • Ecrire un journal
  • Lire un bon livre
  • Regarder une bonne série télé ou un film divertissant
  • Prenez un long bain chaud
  • Ecouter de la musique
  • Se faire faire un massage
  • Prendre un animal de compagnie
  • Faire quelque chose de gentil pour quelqu'un d'autre

Faire ce qui vous plaît (ou ce qu'il vous plaisait de faire)

S'il est vrai que vous ne pouvez pas toujours vous forcez à vous amuser ou à prendre plaisir à ce que vous faîtes, vous pouvez choisir de faire les choses que vous aviez l'habitude d'aimer. Par exemple reprenez un de vos hobbies ou un sport que vous pratiquiez. Participez à des activités créatives à travers l'art, la musique ou l'écriture. Sortez dîner ou allez voir un film avec des amis.
Obligez-vous à faire quelque chose de votre temps, même si vous pensez que cela ne servira à rien. Vous seriez surpris de voir combien on se sent mieux lorsque l'on met le nez dehors. Même si votre dépression ne s'améliorera pas du jour au lendemain, vous sentirez la volonté d'être de plus en plus actif au fur età mesure que vous faites des efforts. C'est le premier pas qui compte, les autres suivront!

lundi 11 juillet 2011

Marie Popelin, première avocate de Belgique à titre posthume? « Blog JUMP

Marie Popelin, première avocate de Belgique à titre posthume? « Blog JUMP



La démarche est plutôt insolite, et pour cause. Marie Popelin a vécu un moment unique, un moment empreint du machisme de nos institutions du 19e siècle. Une décision que des avocats souhaitent modifier en ce début de 21e siècle où l’on parle plus aisément d’égalité entre les sexes.
Cette première femme ayant obtenu le titre de docteur en droit, en Belgique, a demandé de pouvoir prêter le serment d’avocat, le 3 décembre 1888, et d’exercer la profession d’avocat. La cour d’appel de Bruxelles lui a refusé ce droit en invoquant la nature de la femme, sa mission sociale et les exigences particulières de son sexe l’excluant de l’accès à la barre.
Marie Popelin ne fut donc jamais avocate. Au moment où le barreau de Bruxelles s’apprête à fêter son bicentenaire, deux avocats ont choisi de remettre cette question au goût du jour.
Mes Jacques Fierens et Drita Dushaj ont déposé une requête auprès du conseil d’ordre du barreau francophone de Bruxelles. Ils demandent au conseil de l’ordre « d’accorder à titre posthume l’autorisation de porter le titre d’avocat honoraire à Madame Marie Popelin, docteur en droit, née à Schaerbeek le 16 décembre 1846 et décédée à Ixelles le 5 juin 1913. »


vendredi 8 juillet 2011

L'extrême importance de la "dynamique acide-base"



Tout le monde connaît la sensation, le goût "piquant", de l'acidité, et celui âcre et fade des produits alcalins.

Tout milieu, quel qu'il soit, se situe quelque part sur une échelle acidité / alcalinité,
et les tissus de notre organisme n'échappent pas à cette règle.



Le seul problème, c'est que notre corps, programmé pour vivre dans un parfait équilibre, ne tolère que de très petits écarts en amont ou en aval de cet équilibre, et que tout écart important peut provoquer de graves troubles de la santé. Le degré d'acidité ou d'alcalinité d'une substance se mesure enpH (potentiel Hydrogène) 
L'échelle de mesure va de 0 (totalement acide) à 14 (totalement basique). A 7 le pH est neutre 

Les extrêmes limites du pH de notre organisme sont comprises entre 5 et 9. 

     Le pH du sang doit impérativement rester entre 7,32 et 7,42. En dehors de ces limites, il n'y a pas de vie possible, toute variation vers le haut ou vers le bas aura des conséquences dramatiques pouvant aller jusqu'à la mort.  Le pH urinaire d'une personne correctement nourrie et en bonne santé va se situer entre 6,5 et 7,5.  Le pH de la peau est de 5,2.  La digestion se fait également dans un pH particulier, suivant l'aliment ingéré, ce qui rend si important le choix des associations alimentaires, et l'ordre de consommation des divers aliments.  

Dans notre civilisation moderne, la tendance à l'acidification est générale.
La malnutrition (mauvaise qualité des aliments et mauvaises habitudes alimentaires), la suralimentation, le stress, les pensées négatives, l'agressivité et les excès de toutes sortes .... favorisent cette acidification de l'organisme. 

L’hyperacidité de l'organisme est l'une des causes principales de la plupart des maladies métaboliques !

 Un excès d'acidification du sang étant totalement impossible, notre organisme dispose de "systèmes tampons" qui lui permettent de maintenir le pH du sang à sa valeur obligatoire, et pour cela, il va être obligé d'aller "piller" dans les autres organes pour y prendre les produits alcalinisants dont il a besoin. 

Lorsque le niveau de calcium dans le sang diminue de seulement 3% au-dessous du pH idéal, le corps puise dans les substances minérales alcalines présentes dans les réserves : os, cartilages, dents, etc... 
On comprend donc qu’après des années d'excès d'acidité, la déminéralisation s'installe, et que l’arthrose, l’ostéoporose ou des caries dentaires se manifestent, troubles étroitement liés à l'acidification de l’organisme. 
Un excès d'acides entraîne toujours une déminéralisation ! 

En rétablissant l'équilibre "acide-base", on peut freiner la progression d'une arthrose ou d'une ostéoporose. 

Pour régénérer un os ou un cartilage déminéralisé, il est indispensable de rétablir l'équilibre acido-basique, sinon la déminéralisation va continuer. Pour obtenir un résultat satisfaisant, une bonne hygiène alimentaire et hygiène de vie sont nécessaires, ce qui veut dire que chacun doit personnellement prendre conscience de la nécessité absolue d'améliorer sa nourriture et de son mode de vie afin de reprendre la responsabilité de sa santé en main. 

 Lutter contre un excès d’acidification de notre organisme devrait être
au tout premier plan de toutes nos préoccupations de santé.



En testant votre pH urinaire, vous pouvez facilement déterminer si votre corps cherche à se défaire d'un trop plein d'acides. 
En règle générale, vous trouverez un pH plus acide le matin (deuxième urine après le lever, fréquemment de l'ordre de 5,5 à 6,5), puis une valeur d'environ 6,5 à 7 à midi, pour terminer entre 7 et 7,5 le soir. 
Cela veut dire que la nuit, votre organisme élimine l'excès d'acidité accumulé pendant la journée. 
    Mais ce qui doit surtout être pris en compte, c'est le pH des liquides intra et extra cellulaires, et des tissus de l'organisme. Hors analyses, ce contrôle peut être effectué par test énergétique.

 Quelques effets de l'excès d'acidité de l’organisme : 

      La liste des maux causés par un excès d’acidité chronique est interminable :
    • crises de gouttes, rhumatismes, arthrite, polyarthrite, arthrose, ostéoporose....
    • aphtes sur les lèvres et dans la bouche, fissures au coin des lèvres
    • renvois acides (régurgitations), brûlures d'estomac, ulcères,
    • calculs rénaux et vésicaux, - problèmes de peau (boutons, eczéma, herpès), varices
    • rhumes, sinusites, otites, bronchites chroniques - maux de tête et migraines
    • douleurs sciatiques
    • sensation de brûlure ou de démangeaisons de l'anus
    • crampes musculaires
    • une baisse du système immunitaire
    • de la fatigue, un manque constant d'énergie
    • de la frilosité, de la dépression
    • une sensation de membres lourds
    • de la nervosité, de l'irritabilité, etc...

 L’organisme peut s'acidifier de différentes manières :
    • Par notre mode de vie : pensées négatives, colère, violence, stress, surmenage, manque de sommeil, fatigue, mauvaise oxygénation des cellules, manque de mouvement, etc...
    • par la surconsommation d'aliments acides et/ou acidifiants
    • par un manque d'aliments alcalins
    • par les excès alimentaires en général
    Lors de la digestion des protéines d’origine animale, celles-ci sont transformées en acides urique, phosphorique, sulfurique, etc... qui, par la suite, seront éliminés par les reins. Lors d'une surconsommation de ces protéines, le corps n'arrive plus à suivre le travail d'élimination des acides. Suite à une surcharge et une incapacité de neutralisation, ceux-ci seront stockés dans divers endroits de notre organisme : tissu conjonctif, articulations, muscles... avec pour résultat un encrassement lent mais sûr de notre corps. Toute nourriture de mauvaise qualité ou consommée en excès produira un bon nombre d'acides, avec le même résultat. C'est simplement une question de temps jusqu'à ce que les premiers symptômes de rhumatismes ou d'autres maladies apparaissent. La digestion se fait également dans un pH particulier suivant les aliments ingérés. C'est la seule, mais très importante raison des "associations alimentaire". La digestion commence dans la bouche, avec la salive : pH neutre 7 à 8. La digestion des féculents et hydrates de carbone se fait en milieu basique (pH 7 à 9), celle des protéines dans un milieu très acide (2 à 4). On voit donc que l'association hydrates de carbone / protéine (pates / viande) n'est pas idéale. Le lait et les fromages sont très acidifiants et très incompatibles avec le pain. Citron, vinaigre, tomate et vin sont incompatibles avec les féculents mais compatibles avec les protéines... La consommation quotidienne de viande est un excès regrettable, favorable au dépôt d'acide urique dans les articulations. Un cocktail quotidien de viande + produits laitiers devient explosif au fil des années. Les fruits, aliments essentiels, peuvent devenir dangereux consommés en mauvaise association. Ils doivent toujours être consommés loin des repas, JAMAIS pendant un repas, ni en fin de repas (totalement incompatible). Une association très répandue mais particulièrement désastreuse pour les enfants chez qui elle provoque des désordres ORL importants (otites, rhinites, bronchites, bronchiolites, angines) : un repas de féculents (riz ou purée par exemple) et un yaourt sucré en dessert. Le mélange féculent / yaourt est incompatible, et le mélange féculent / sucre est également incompatible. Cela donne une double incompatibilité majeure, et des problèmes ORL fréquents ... (Voir page "Alimentation Hypotoxique")

 Comment rétablir l'équilibre acido-basique ?
    • en diminuant l'apport d'aliments acides ou acidifiants.
    • en augmentant la consommation des aliments crus, tout en respectant sa propre capacité métabolique à l'égard des crudités.
    • en augmentant l'apport d'aliments alcalins.
    • en mangeant lentement, consciemment, dans le calme et en mâchant bien les aliments (ceci les rend plus alcalins).
    • en améliorant la qualité de vie par une recherche sur le sens de l'existence et celui de la maladie.
    • par des exercices de respiration, promenade dans la forêt ou en montagne.
    • par d'autres activités sportives et harmonieuses.
    • par l'apport d'un remède alcalinisant naturel (en cas de nécessité).
    • en suivant une cure de désintoxication une, deux ou plusieurs fois par année pour régénérer le corps et l'esprit.

      Mais la première des choses à faire, est de choisir ses aliments dans la liste des aliments alcalinisants, d'éviter le plus possible tous les aliments acidifiants, et d'être très sérieux dans la continuité.
    Dans les cas d'acidité très prononcée, il peut être nécessaire de prendre certains produits naturels (plantes, minéraux) alcalinisants. Mais soyez très prudents avec les médicaments généralement prescrits pour lutter contre l'acidité, ils présentent en général une toxicité importante (métaux lourds). On en revient toujours au principe de base : il n'existe pas de produit miracle pour rétablir un équilibre que vous avez détruit par vos mauvaises habitudes (alimentaires et de style de vie), mais une prise de conscience et une action sur le long terme.  L'oxygénation, la marche au grand air, l'exercice physique, les séjours en altitude, toute activité qui favorise le métabolisme en général et accélère le rythme respiratoire permet d'augmenter l'élimination des acides faibles et contribue ainsi à une désacidification de l'organisme. Une journée au grand air provoque une acidification des urines, qui provient d'une part de l'augmentation du métabolisme musculaire, producteur d'acide lactique, et d'autre part de l'augmentation générale du métabolisme de base. L'oxygénation oxyde de nombreux acides tissulaires et permet de les éliminer par les reins. Attention à la "cure de citron". C'est un excellent moyen de corriger une acidose chronique pour un organisme sain, mais elle ne sera pas favorable et aura même l'effet inverse (déminéralisation) chez une personne ayant un métabolisme lent ou faible.


 Combien de temps faudra-t-il pour désacidifier l'organisme ? 

    Il est difficile de répondre à cette question car tout dépend du terrain. Pour une personne ayant une grande accumulation d'acides, il faudra certainement plusieurs mois, à condition que la nourriture consommée soit parfaitement choisie, et que le mode de vie soit équilibré. La prise de certains produits naturels alcalinisant peut considérablement accélérer le processus, et les résultats sur le bien-être et l’amélioration de la santé seront très rapidement sensibles. Encore une fois, attention aux "médicaments" (chimiques) proposés pour corriger l’acidification : Aucun de ces produits n’est sans effets secondaires important, ils présentent tous une forte présence de métaux lourds toxiques, et donc toujours des conséquences néfastes pour la santé globale.
Cet article fort intéressant a été repris du site http://www.alteliersante.ch

mardi 5 juillet 2011

Dana Ades-Landy: les femmes et l’autorité


NOVEMBRE 22, 2010 
par Farah Ateb, Premières en affaires
Dana Ades-Landy, Première vice-présidente, Commercial et comptes majeurs, Banque Laurentienne
Les femmes et l’autorité
Les femmes sont plus réticentes à exercer leur autorité. On a un côté plus doux, plus émotif, on réfléchit un peu plus avant de dire quelque chose ou de faire une reproche à quelqu’un, alors que les hommes sont plus directs et moins préoccupés par l’impact émotionnel que peuvent avoir leurs mots. Les femmes craignent parfois l’image que l’assurance leur donne. Si on est ferme, on est étiquetée bitche, agressive, difficile, assoiffée de pouvoir, tandis qu’un homme est respecté. Je n’approuve pas l’impolitesse, ni l’impatience, ni la méchanceté, ni l’arrogance, mais uniquement la confiance en soi. Je ne sais pas si ça changera, mais je peux déjà dire que les jeunes femmes n’ont pas les inquiétudes ni les insécurités de ma génération. Elles ont plus de confiance en leurs actions, en leurs décisions, en leur jugement, et c’est avec cette sûreté qu’on avance. Une femme forte devrait être perçue de la même façon qu’un homme avec les mêmes caractéristiques.